En Galilée, le sable a couvert,
Sur la rive, les pas de l’Etranger;
En Judée on n’entendra plus la Voix
Qui calma les vagues en furie.
Mais ce jour, joyeux, je suis la voie
Du Galiléen solitaire.
Et les peines du chemin ne vaudront rien,
Quand j’atteindrai la fin de la route.
Et les peines du chemin ne vaudront rien,
Quand j’atteindrai la fin de la route.
Il y a tant de collines à gravir
Que je soupire après le repos,
Celui qui m’indique le chemin connaît
Ce qui est utile et meilleur.
Je sais, Sa Parole a promis que
Ma force, «elle sera comme mon jour. »
Et les peines du chemin ne vaudront rien,
Quand j’atteindrai la fin de la route,
Et les peines du chemin ne vaudront rien,
Quand j’atteindrai In fin de la route.
Il m’aime tant qu’il ne peut me quitter
Ni me donner une épreuve trop forte,
Son peuple est racheté à grand prix,
Satan ne peut le réclamer.
Bientôt je vais Le voir, Le louer,
Dans la cité du jour sans fin.
Et les peines du chemin ne vaudront rien,
Quand j’atteindrai la fin de la route,
Et les peines du chemin ne vaudront rien,
Quand j’atteindrai la fin de la route
Quand le dernier faible pas est fait,
Les portails de cette ville apparaissent
Et qu’alors les merveilleux chants des anges
Résonneront à mes oreilles.
Ce qui maintenant semble mystérieux,
Sera brillant et clair comme jour.
Là, les peines du chemin ne vaudront rien,
Quand j’atteindrai la fin de la route,
Là, les peines du chemin ne vaudront rien,
Quand j’atteindrai la fin de la route.